Oui, presque... Parce que quand il faut s'occuper de trimbaler le matos, de l'installer, de régler le son, de jongler avec les changements de plateau, pour enfin pouvoir jouer quelques morceaux... Eh ben, il faut quand même avoir une bonne dose d'abnégation !
Mais quand on voit après le public danser et participer, et qu'on se prend aussi au jeu entre nous, on oublie un peu tout et ça fait chaud au cœur.
Puis, après le set, on va se réconforter en allant se prendre une pression !